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Immobilier

Guy Hoquet l’Immobilier communique son bilan 2015

Guy Hoquet l’Immobilier communique son bilan 2015

La reprise de l’activité, incarnée par l’augmentation du volume de ventes tout au long de l’année, est confirmée au 4ème trimestre. Ainsi, le réseau Guy Hoquet l’Immobilier affiche une augmentation du nombre de transactions de 11,5%.

 

Le bilan 2015 selon Guy Hoquet l’Immobilier

En rapport à l’année 2014, le nombre de compromis de vente enregistrés par Guy Hoquet l’Immobilier a augmenté de 11,5% au 31 décembre 2015. Mais la fin de l’année montre néanmoins un pic de baisse d’activité avec une baisse de 20% du nombre de transactions durant la seconde moitié de novembre, et un allongement des délais de vente sur le dernier trimestre.

On observe ainsi une évolution de la demande annuelle de +13% avec une évolution à -26% sur les deux derniers mois de l’année. C’est le même constat pour le nombre de visites de biens : +17% sur un an mais -32% sur novembre et décembre 2015.

« Tous les signaux de reprise sont au vert : le marché immobilier nous le confirme, avec une année 2015 qui marque une embellie de +11.5% en volumes de ventes », constate Fabrice Abraham. «  Des taux de crédit qui sont restés bas, des prix sur une tendance baissière, même légère, tout au long de l’année, et des acheteurs qui ont compris qu’il était temps d’acter, sont autant de paramètres qui expliquent cette situation ».

Un retour notable des primo-accédants ?

Du côté du profil des acquéreurs, le réseau n’enregistre pas de retour notable des primo-accédants, même si, sur le long terme, ils reviennent peu à peu sur le marché. De 30% du marché en 2013, ils représentent en 2015 36% des acquéreurs. « La nouvelle formule du PTZ, si elle est très intéressante pour les acheteurs dans le neuf, n’a peu ou pas d’incidence sur le marché de l’ancien, en ce qu’elle comporte une obligation d’effectuer des travaux à hauteur de 25% du prix d’achat, ce qui est un élément bloquant pour l’acquéreur », précise Fabrice Abraham.

Qu’en est-il des investisseurs ?

Les investisseurs, de leur côté, restent les grands absents du marché national et sont en retrait : représentant 25% en 2011, ils ne sont plus que 9% sur le marché de l’immobilier en 2015, inquiets face aux mesures peu engageantes du gouvernement, et notamment à la mise en place de l’encadrement des loyers parisiens. « Les ventes de petites surfaces parisiennes sont très fortement impactées depuis la rentrée 2015, date d’entrée en vigueur de cette mesure », observe Fabrice Abraham. Les investisseurs privilégient désormais la proche banlieue à Paris.

Le marché immobilier en 2015 : Prix des biens

Si les prix se stabilisent sur tout le territoire, affichant une évolution de -0.5% en France sur un an, et de -0.8% en Ile-de-France, ils affichent néanmoins une baisse dans la capitale, de -1.5%. Les acquéreurs se reportent en effet plus nombreux sur l’Ile-de-France que sur Paris intramuros, et préfèrent les maisons aux appartements : ces dernières voient leurs prix augmenter de 1.4% en France contre une baisse de 2,7% pour les appartements.

On observe ainsi une remontée du pouvoir d’achat des Français. Au 4ème trimestre 2015, le prix moyen d’achat d’un bien sur le territoire national est de 192.840 euros. Ce montant permet d’acheter 25 m2 à Paris, 62,5 m2 en Ile de France, 117 m2 en Province et 81 m2 en moyenne sur toute la France.

Immobilier : Guy Hoquet dresse le bilan 2015
Manda R.

Manda R.

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