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« Realestech » : 40 start-up de l’immobilier à suivre

« Realestech » : 40 start-up de l’immobilier à suivre

Le groupe Duval, groupe familial immobilier, vient de publier un livre blanc sur la « realestechisation » et dévoile une sélection de 40 start-up à suivre en 2017 dans l’immobilier.

 

Realestech, 40 start-up de l’immobilier à suivre

Avec cette sélection de start-up qui s’articule autour d’une étude sur le profil type du startuper et un décryptage exclusif de Robin Rivaton, le Groupe Duval souhaite apporter un éclairage à la « startupisation » de l’immobilier ou Realestech qu’il souhaite encourager. Son intention est également de mettre en avant les ruptures, aussi innombrables qu’inévitables, qui vont impacter ce secteur.

« La conquête de l’immobilier par les start-up s’est mise plus doucement en marche qu’ailleurs. Nous voulons démontrer que l’immobilier peut être bien plus mobile qu’aujourd’hui, même s’il l’est déjà plus qu’hier », précise Pauline Duval, Directrice Générale du Groupe Duval.

A l’heure de la révolution digitale, la question stratégique pour tous les groupes immobiliers est de s’adapter aux mutations de leurs clients et d’améliorer leurs expériences dans l’immobilier de bureaux comme dans l’immobilier commercial jusqu’aux logements. Ces start-up peuvent contribuer à renouveler le secteur immobilier en infusant leur capacité de disruption et en inventant de nouvelles normes de marché.

 

Realestech : Le potentiel incroyable de création d’un nouveau monde immobilier

Les témoignages de ces entrepreneurs permettent à chacun de comprendre la montée en puissance du phénomène start-up dans l’immobilier, les services concernés et les nouveaux besoins des utilisateurs auxquels elles permettent de répondre.

« Toutes ces belles initiatives doivent savoir qu’elles peuvent trouver en France des entrepreneurs capables de les accompagner pour lever des fonds, à l’image de notre Groupe familial. Les Groupes de notre taille savent à quel point le dynamisme et l’innovation de ces start-up peuvent permettre le renouvellement de notre métier en profondeur. La Realestech ne fait que commencer. C’est aussi ce qui rend cette aventure particulièrement enthousiasmante », souligne Pauline Duval.

 

Une transformation massive est sur le point de s’opérer

Selon Robin Rivaton est essayiste et entrepreneur, la transformation va s’opérer sous l’effet de quatre facteurs. D’abord des technologies, software et hardware, viennent ensemble bouleverser toute la chaine de valeur du secteur immobilier. Un certain nombre d’entre elles sont déjà connues et ont été opérationnellement éprouvées, du Building Information Modeling à la blockchain en passant par les drones ou les objets connectés.

Ensuite, des données publiques et privées sont collectées dans des volumes chaque jour plus importants et rendues disponibles. Il est désormais possible de connaître gratuitement les prix, les caractéristiques des biens et les règles d’urbanisme.

Le troisième facteur est le poids de la règlementation qui a sans doute atteint un plafond. Parce qu’il est si important, le secteur est donc légitimement très régulé.  Mais cet interventionnisme pourra difficilement aller plus loin.

Comme quatrième facteur, et sans doute le plus important, il y a les changements culturels. « Il n’est pas un secteur économique plus empreint de représentations sociales et culturelles que l’immobilier. Devenir propriétaire a longtemps été un idéal dans de nombreuses sociétés, d’abord comme un reflet d’ascension sociale et un héritage à transmettre puis plus tard, face à l’allongement de la durée de vie et un marché du travail plus incertain, comme la garantie d’avoir un toit sur la tête quelle que soit sa situation. Contrairement aux théories affirmant le passage de la propriété à l’usage, il n’est pas certain que ce rapport à la propriété ait été altéré. On observe toujours la même envie de devenir propriétaire chez les jeunes générations », analyse Robin Rivaton.

 

Trois pistes pour faciliter la Realestechisation

> La mise en œuvre d’un concours national de création d’entreprises innovantes dédiées à l’immobilier pour les jeunes et/ou d’un prix « jeune entrepreneur immobilier ».

> La création d’un institut du Mentorat entrepreneurial dédié à l’immobilier.

> Un mécanisme d’accès privilégié et simplifié des jeunes entreprises à tous les lots immobiliers des marchés publics.

Ces trois propositions du groupe Duval vont dans le même sens : inciter tous les porteurs de projets à se lancer. Elles visent également à permettre à ces start-up d’irriguer tout le secteur immobilier en favorisant l’insertion de leurs innovations dans tous les marchés publics auxquels elles ont du mal à accéder. Les ingrédients de la révolution sont là. Pour la mettre en marche, le Groupe Duval croit à la force de la valorisation de l’initiative et à la pensée positive. Le Groupe Duval souhaite contribuer à ce que la réussite ne soit plus stigmatisée mais encouragée et que l’échec ne soit plus montré du doigt mais utilisé pour rebondir professionnellement.

« Nous sommes un groupe familial. Cela fait de notre Groupe une entreprise pas comme les autres. Nous ne sommes pas un fonds d’investissement et  accompagnons sur le long terme les start-up dont nous considérons qu’elles ont le plus grand potentiel. Nous les soutenons financièrement bien sûr mais aussi en suivant au quotidien la stratégie déployée par ces jeunes acteurs entrepreneuriaux. Nous avons aujourd’hui accompagné une dizaine de jeunes pousses qui sont toutes aussi bluffantes d’agilité. L’agilité est une valeur cardinale à laquelle je suis très attachée. Je crois d’ailleurs que c’est la souplesse de notre organisation familiale qui a construit le succès actuel. Nous sommes heureux de voir des jeunes pépites devenir des succès commerciaux, à l’image de l’application de paiement mobile Lydia, aujourd’hui proche du million d’utilisateurs », conclut Pauline Duval.

 

> Téléchargez le livre blanc : REALESTECH : 40 START-UP DE L’IMMOBILIER À SUIVRE EN 2017

 

Manda R.

Manda R.

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